Le Kenya connaît une transition épidémiologique en ce qui concerne le fardeau des maladies non transmissibles. Les maladies non transmissibles constituent un problème majeur de santé publique et contribuent à plus de 50 % des hospitalisations et à 40 % de la mortalité, ralentissant ainsi le progrès économique du Kenya. Si la tendance actuelle se poursuit, les systèmes de santé des pays à revenu faible ou intermédiaire seront incapables d’atténuer la charge de morbidité.
Cette brève synthèse des données probantes résume les messages, recommandations et objectifs clés présentés lors de la 11e conférence scientifique annuelle de l’Institut de recherche médicale du Kenya (KEMRI) sur les maladies non transmissibles dans le système de santé publique du Kenya.