Ce rapport de projet découle d’une étude d’analyse politique de base visant à évaluer l’état de l’utilisation de la recherche dans la formulation des politiques par le ministère de la Santé du Kenya (minsanté). L’étude a été menée dans le cadre du projet SECURE Health (Renforcement de la capacité à utiliser les preuves de recherche dans les politiques de santé) au Kenya, dont l’objectif global est d’optimiser l’accès et l’utilisation des preuves de recherche dans la prise de décision, la planification et la programmation du secteur de la santé. Le programme SECURE Health est financé par le Département britannique pour le développement international (DFID) pour mettre en œuvre et évaluer des interventions visant à remédier aux goulots d’étranglement individuels et institutionnels qui empêchent les décideurs politiques d’accéder et d’utiliser efficacement les données probantes de la recherche dans leur travail. Il (SECURE Health) est un projet de trois ans mis en œuvre grâce à un partenariat entre le ministère de la Santé, le parlement et le Consortium SECURE Health dirigé par l’Institut africain de politique de développement (AFIDEP). Les autres partenaires du Consortium comprennent le Consortium pour la recherche nationale en santé (CNHR), FHI 360 et la Communauté de santé d’Afrique orientale, centrale et australe (ECSA-HC).